Le 28 novembre 2023, le centre hospitalier universitaire (CHU) de Bordeaux a déclaré à l’ASN avoir constaté, pour quatre jeunes enfants, des doses non optimisées délivrées lors de radiographies pédiatriques pulmonaires. Ces examens, nécessaires dans le cadre de la prise en charge de ces patients, ont entraîné un surcroît d’exposition aux rayonnements ionisants très faible, équivalent à une ou deux radiographies pulmonaires. Un tel niveau de surexposition est sans conséquence clinique.