Revue des composants fabriqués par l’usine Creusot Forge Areva NP installés sur les réacteurs électronucléaires en exploitation

Lorsque l'on connaît les risques liés à l'utilisation du nucléaire, il est tout simplement impensable d'accorder des autorisations d'exploitations pour des cuves dont on sait pertinement qu'elles présentent des risques. Depuis des années, Edf et Areva se fourvoient dans la course au tout nucléaire, on sait aujourd'hui que cette filière est totalement obsolète du point de vue économiques car le coût si bas de l'électricité en France tant vanté par Edf et Areva en raison de l'utilisation massive du nucléaire ne prend pas en compte les fonds qui vont être nécessaire à mettre en oeuvre pour les centrales en fin de vie. IL faut au moins, dans ce cas-là, imposer à EDF et Areva de respecter scrupuleusement les normes , c'est la moindre des choses ! Un "ancien" de la famille ayant travaillé à Edf et aujourd'hui à la retraite nous avouait ne pas être inquiet du nucléaire en soit, mais de la manière dont il est géré aujourd'hui au travers d'une sous-traitance massive et d'une recherche permanente d'économies qui mettent en danger la filière (et les peuples vivant autour de ces potentielles véritables bombes ultra-sales. Le nucléaire français s'est totalement discrédité, arrêtons les frais , fermons tout cela , ne partons pas dans des délires dont on sait très bien qu'ils ne seront, comme tout ce qui a été fait dans cete filière jusque-là, que des gouffres sans fond au niveau économique.

La persistance de doutes sur la résistance des matériaux d'un EPR comme de toute centrale nucléaire est un facteur de risque qui rend l'utilisation de la cuve défectueuse déraisonnable. La préférence donnée aux intérêts immédiats d'EDF et AREVA sur l'avenir des populations et de l'environnement est une démarche à courte vue. Nous attendons des décideurs d’œuvrer pour le bien public, à long terme. Je suis opposée à la mise en service de la cuve de Flamanville et à l'utilisation de cuves ne répondant pas aux exigences de sécurité requise, par exemple parce qu'elles contiennent des matériaux non conformes, dans le cadre de l'industrie nucléaire.

Alors que des irrégularités sont constatées dans un cas aussi sensible, je ne comprends pas pourquoi,EDF et AREVA mettent en service des unités potentiellement très dangereuses pour les populations et leurs propres employés. L'ASN doit veiller à ce que ces acteurs soient davantage surveillés, depuis des années les manipulations et les dissimulations sont trop nombreuses. Les pièces defectueuses sont les cuves! Il ne s'agit pas d'un banal tuyau mal branché!
En tant que contribuable, je ne veux pas être co-responsable et payer pour les mensonges d'EDF (aux français et à l'Etat!)
La filière nucléaire française est totalement discréditée par ces comportements douteux. De plus le souvenir de Fukushima et de Tchernobyl notamment, ne peut nous laisser indifférents. Ces manquements à la sécurité (de base) sont une honte dans un pays dit développé.

Alors que des irrégularités sont constatées dans un cas aussi sensible, je ne comprends pas pourquoi,EDF et AREVA mettent en service des unités potentiellement très dangereuses pour les populations et leurs propres employés. L'ASN doit veiller à ce que ces acteurs soient davantage surveillés, depuis des années les manipulations et les dissimulations sont trop nombreuses. Les pièces defectueuses sont les cuves! Il ne s'agit pas d'un banal tuyau mal branché!
En tant que contribuable, je ne veux pas être co-responsable et payer pour les mensonges d'EDF (aux français et à l'Etat!)
La filière nucléaire française est totalement discréditée par ces comportements douteux. De plus le souvenir de Fukushima et de Tchernobyl notamment, ne peut nous laisser indifférents. Ces manquements à la sécurité (de base) sont une honte dans un pays dit développé.

Alors que des irrégularités sont constatées dans un cas aussi sensible, je ne comprends pas pourquoi,EDF et AREVA mettent en service des unités potentiellement très dangereuses pour les populations et leurs propres employés. L'ASN doit veiller à ce que ces acteurs soient davantage surveillés, depuis des années les manipulations et les dissimulations sont trop nombreuses. Les pièces defectueuses sont les cuves! Il ne s'agit pas d'un banal tuyau mal branché!
En tant que contribuable, je ne veux pas être co-responsable et payer pour les mensonges d'EDF (aux français et à l'Etat!)
La filière nucléaire française est totalement discréditée par ces comportements douteux. De plus le souvenir de Fukushima et de Tchernobyl notamment, ne peut nous laisser indifférents. Ces manquements à la sécurité (de base) sont une honte dans un pays dit développé.

Je vous exprime mon inquiètude ma lassitude mon courroux de citoyenne : arretez les FRAIS prenez vos responsabilités hors des lobbys et pressions.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être irréprochable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !
• Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire c

onfiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
• La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
• Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Pour imager la situation, nous avons ici plusieurs énormes poids lourds en circulation. L'entreprise de transport qui les exploite sait pertinemment que certaines pièces sensibles sont potentiellement dangereuses. Comme cela ne lui est pas venu spontanément à l'esprit, un organisme d'état lui demande d'examiner ses véhicules et d'en lister les défauts afin de demander des comptes au fabricant. Mais il n'a pas lieu de s'affoler, l'autorité lui permet de rouler pendant plus d'un an en toute quiétude, quitte à constituer un danger public !
Par ailleurs, l'autorité demande au transporteur routier de faire lui-même cette analyse. Or celui-ci n'a pas trop intérêt à découvrir de défauts car son chiffre d'affaire pourrait en pâtir si les véhicules devaient être immobilisés pour réparation.
On croit rêver. Dans ASN on lit pourtant bien "S" pour sureté ? On en conclue donc que grâce à une autorité indépendante de sureté, les règles de sécurité sur les installations industrielles les plus dangereuses au monde sont plus souples que celles qui s'appliquent aux contrôles techniques de nos véhicules !

1/ L'affaire Creusot Forge a révélé des défaillances gravissimes dans le système de contrôle des activités nucléaires et ceci existant depuiS de très nombreuses années.Il est indispensable et prioritaire d'en rechercher les causes et de les traiter. Dans un tel contexte, il serait irresponsable d'autoriser la mise en service d'équipements critiques qui ne satisfont pas aux minima requis par la réglementation.

2/ Faute de pouvoir accéder à l'ensemble du dossier, toute contre-expertise est impossible. J'ai constaté qu'il est impossible d'obtenir un document réponse d'EDF à l'ASN qui ne soit pas caviardé ce qui toute analyse impossible

3/ Les documents à disposition émanent tous d'organismes impliqués dans les dysfonctionnements qui ont conduit à l'installation des composants défectueux ;

4/ Le texte introductif de l'ASN induit d'ailleurs le lecteur en erreur, en présentant comme hypothétique l'altération bien réelle des propriétés mécaniques de l'acier des calottes ;

5/ Les conditions posées par l'ASN pour la mise en service (contrôle sous 30 mois pour le fond de cuve et limitation à 2024 de l'utilisation pour le couvercle) ne sont pas de nature à compenser la dégradation des performances de l'acier et ne démontrent pas qu'aucun défaut nocif ne peut apparaître avant ces échéances ;

6/ La dangerosité de l'EPR, réacteur de 1650 MWe dont la construction a été émaillé de nombreux problèmes et qui ne bénéficie d'aucun retour d'expérience, impose de proscrire toute diminution des marges de sécurité, toute zone d'ombre, toute remise en question du principe fondamental de défense en profondeur ;

7/ Areva et EDF ont sciemment passé outre leurs engagements, les prescriptions réglementaires et les rappels à l'ordre de l'ASN. Ils doivent en assumer les conséquences. Toute autre décision enverrait un signal délétère.

Nous ne pouvons avoir une expertise extérieure des réponses D'EDF à l'ASN car à chaque fois que nous avons demandé des documents réponse d'EDF ils sont complètement caviardés et impossibles à examiner. Quelle pression est exercée sur l'ASN pour que l'accord de l'ASN soit obtenu?
DE plus la consultation accorde un délai beaucoup trop long pour la vérification des dossiers. L'examen des équipements en service aurait dû et doit encore passer avant l'étude des équipements en projet, et notamment de l'EPR. De plus, le dossier ne contient aucune analyse de risque et ne prévoit aucune mesure conservatoire pour toute la période où l'on ignore la nature et la gravité des éventuelles anomalies. Il faut également ajouter des prescriptions pour garantir la fiabilité des vérifications. On est très loin du niveau d'exigence requis pour des installations aussi dangereuses.

La consultation accorde un délai beaucoup trop long pour la vérification des dossiers. L'examen des équipements en service aurait dû et doit encore passer avant l'étude des équipements en projet, et notamment de l'EPR. De plus, le dossier ne contient aucune analyse de risque et ne prévoit aucune mesure conservatoire pour toute la période où l'on ignore la nature et la gravité des éventuelles anomalies. Il faut également ajouter des prescriptions pour garantir la fiabilité des vérifications. On est très loin du niveau d'exigence requis pour des installations aussi dangereuses.