Revue des composants fabriqués par l’usine Creusot Forge Areva NP installés sur les réacteurs électronucléaires en exploitation

Bonjour,
Je suis heureux de trouver enfin des consultations sur un sujet qui nous concerne tous de près. Certains regarde le nucléaire comme la solution idéale pour produire de l'énergie, je dirais que c'est une solution de facilité et elle a des revers. Sans pour l'instant traiter d'éventualité d'accident, le nucléaire coûte cher, Areva le sait bien, avec des travaux qui lui ont coûté l'existence sur le marché. L'entreprise est quasi morte et ne vis que pour rembourser ses dettes. La raison de la mort de cette entreprise ? L'acharnement à croire que le nucléaire est notre avenir. Je crois que le nucléaire doit faire partie du passé. Nous avons joué avec le feu, il faut maintenant reprendre raison. D'autres sources d'énergie moins coûteuses sont possible. Car il faut voir la facture que nécessite l'entretien du parc nucléaire, c'est un gouffre gigantesque qui ne fait que s'agrandir. Là, je vous parle d'économie. Écologiquement, il n'y a pas grand chose à dire, le nucléaire est la pire des énergies. En plus d'avoir des problèmes pour le "retraitement", le refroidissement des centrales a boulversé de nombreux écosystèmes. Aux bénéfices de certains j'en conviens (la ferme des crocodiles). Garder le nucleaire pour la recherche scientifique est une autre histoire, mais pour la production d'énergie, je crois qu'il faut tourner la page et pour nous, consommateur d'énergie, il va falloir qu'on se calme sur la conso.
Les problèmes rencontrés par les vieillissantes centrales sont de plus en plus nombreux. Les problèmes rencontrés par les projets de centrales sont insolubles. Pourquoi engouffrer tant de moyen dedans ? Les investir dans l'éolien, le marémotrice, le solaire est bien plus intelligent et sain. En plus, il y a énormément de gens qui n'attendent que ça depuis déjà trop longtemps. À part des histoires de lobbies je ne vois pas pourquoi s'obstiner ainsi.
J'espère que cette consultation ouvrira une page nouvelle vers un monde où le nucleaire ne sera plus !
Je vous remercie
Vincent

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Voilà donc une 3e consultation du public pour cet été 2017.

Après une projet d'avis désolant relatif à la Cuve de l'EPR, un projet d’avis relatif au dossier d’options de sûreté de l’installation de stockage de déchets radioactifs Cigéo réjouissant, voici un nouveau projet dont on ne peut que saluer l'urgence et la nécessité.

Pour autant, on est en droit de s'interroger sur le caractère tardif de cette injonction adressée à l'opérateur électrique de l'Etat. Les premiers éléments mettant en cause les capacités des ateliers du Creusot à fabriquer des équipements pour l'industrie nucléaire datent du second semestre 2015. En 2016, des révélations plus précises ont été publiées et chacun a pu prendre la mesure des "irrégularités" constatées.

L'OPESCT s'est emparée de cette question épineuse. Et on aurait pu croire dès l'automne 2016 _ alors que de nombreux générateurs de vapeurs et quelques autres équipements sous pression ne répondaient pas à l'ensemble du requis exigible pour tout élément important pour la protection des intérêts mentionnés à l'article L 593-1 du Code de l'Environnement _ qu'EDF apporterait dans les plus brefs délais toutes les informations nécessaire à une évaluation de sûreté nécessaire.

Comment se fait-il qu'EDF n'ait pas encore communiqué à ce jour les données nécessaire à un contrôle de sûreté digne de ce nom ?

Il est aujourd'hui grand temps que l'exploitant nucléaire réponde à ces prescriptions... et surtout que les traitements des informations soit public afin d'évaluer de manière ouverte et pluraliste si les installations où ont été assemblées des équipements "irréguliers" peuvent encore fonctionner dans des conditions de sûreté raisonnables.

Je suis membre du Crepan (www.crepan.org )
Je déplore fortement la décision de l'ASN sur la cuve de l'EPR, qui semble irrationnelle et porte le doute sur l'indépendance de l'ASN.
Je demande l'arrêt du chantier de l'EPR et le démantèlement progressif des centrales.
Je considère que le nucléaire est une impasse environnementale et économique, qui compromet gravement le développement des énergies renouvelables nécessaires à la transition énergétique.

Est-ce que cet avis de l'ASN s'accompagne de la mise en place d'une régulation de la sous-traitance ? Quels sont les efforts déployés par les parties prenantes pour garantir que les dysfonctionnements visibles de ce dossier ne se reproduisent plus ? On (la presse) parle de falsifications de centaines de documents de contrôle, de négligences, forçant l'ASN à prendre des mesures drastiques pour rassurer nos concitoyens. Mais c'est du coup une ASN mise devant le fait accompli qui cherche à gagner notre confiance. Si vous voulez continuer à faire du nucléaire, au moins faites le bien, et par pitié commencez à diversifier vos technologies, investissez dans le thorium, les ENR, faites-vous à l'idée que c'est le seul moyen de régler les problèmes sereinement.

Je suis membre du Crepan www.crepan.org
Je déplore fortement la décision de l'ASN sur la cuve de l'EPR, qui semble irrationnelle et porte le doute sur l'indépendance de l'ASN
Je demande l'arrêt du chantier de l'EPR et le démantèlement progressif des centrales. Je considère que le nucléaire est une impasse environnementale et économique, qui compromet gravement le développement des énergies renouvelables nécessaires à la transition énergétique

Même sans défaut de construction une centrale nucléaire est dangereuse. Si un seul défaut est constaté, la pièce doit être refaite au frais du constructeur (désaccord total quand au fait que le client final -ici, le contribuable- paye pour la réalisation de pièce défectueuse). Si les couts de construction réels, sans défaut, sont trop élevés alors il ne faut pas acheter et arrêter de subventionner la production de combustible d'arme nucléaire.