Revue des composants fabriqués par l’usine Creusot Forge Areva NP installés sur les réacteurs électronucléaires en exploitation

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Comme beaucoup ce problème dans la composition de l'acier du réacteur de Flamanville me touche particulièrement.
Ancien ingénieur j'ai travaillé avec les gens du creusot et déjà à l'époque un constat avait été fait sur la perte du savoir faire des métallurgistes responsables . Il est vrai que la composition des réacteurs est complexe et des caractérisations de l'acier coutent cher et n'ont peut être pas été menées dans les règles de l'art?.
Parallèlement des aciéristes ont cessez de proposer des qualités d'acier "exotiques" à leur catalogue ce qui n'a pas facilité les choses.
Faire du fer à béton pour la chine est peut être plus rentable que faire des aciers complexes. Quoique qu'il en soit le mal est fait, l'acier ne correspond pas il est inutile de mettre en danger des vies humaine sacrifiées à l’hôtel du profit et de l’incompétence .

Tout a été dit sur la défectuosité des pièces maitresses et les dangers encourus. Le nucléaire est un choix qui nous coûte cher en argent, cf la présentation du coût du projet d'EPR et le coût final qui nous revient au moins trois fois plus cher. Sans compter les milliards nécessaires au maintien des centrales à l'oeuvre. On nous a menti sur le prix de revient de l'électricité nucléaire, arrêtons de nous y fourvoyer. La bascule vers les énergies renouvelables permettrait la création de dizaines de milliers d'emplois. Un véritable plan de transition, basé sur la coopération et non la mise en concurrence des régions, garantirait l'accès à tous à l'énergie. Qu'attend on pour sortir de ces choix mortifères où comme d'habitude les profits sont privatisés tandis que les pertes, énormes, sont à la charge des contribuables. A revoir, le film "Plogoff, des pierres contre des fusils".

Je me joins à ces citoyens responsables qui commentent avec force technique l evidence d' une telle décision : on ne joue pas avec la vie à ce stade de dégradation. La moindre anomalie-et c est avéré officiellement avec l'état non conforme du couvercle de cette cuve n à pas à être considérée comme un cas discutable. Les enjeux financiers aveuglent les "experts" à ce point ? Je refuse que ma vie et la santé de mon environnement soient liés à ce jeu de hasard totalement hypocrite. Nous n avons pas à payer si cher les erreurs de d 'areva dans ses choix de partenaires. 2024 pour changer les pièces ? 7 ans en sursis de forte légèreté face aux enjeux vitaux

Si j'envoyais ma voiture au contrôle technique avec une pièce majeure défectueuse, non seulement elle serait recalée, avec obligation de changer la pièce, mais je pourrais porter plainte contre le professionnel qui l'aurait installée. Dans ce cas précis le risque d'accident ne concerne que moi et éventuellement d'autres usagers de la route qui auraient eu à en subir les conséquences; Vous, vous vous apprêtez à autoriser l'installation de pièces reconnues défectueuses, en l’occurrence les cuves qui sont la pièce maîtresse du réacteur. Le contrôle technique ne fonctionne pas dans l'industrie nucléaire? En autorisant l'utilisation de ces pièces, vous jouez avec la vie des citoyens, sans états d'âme, pour préserver les intérêts financiers d'EDF et AREVA, c'est complètement irresponsable. D'ailleurs cet EPR nous a déjà coûté très cher, et il ne verra sans doute jamais le jour , alors il est temps de dire stop et d'arrêter les centrales nucléaires au plus vite, avant qu'elles ne se fâchent. Errare humanum es, persivirare diabolicum !

Les dysfonctionnements et les pieces défectueuses mettent en évidence une erreur en terme de choix énergétique. Ces choix doivent être pris de maniere indépendante de toute entreprise lucrative (et sans personne qui y soit lié dans les structures décisionnelles) et de toute considération économique à long terme pour garantir un avenir serein à l'humanité. Mettons la recherche au service de l'humanité et non pas des grandes sociétés! Les exemples de catastrophes mettent en évidence un désiquilibre évident entre la prise de risque et le bénéfice. Le bénéfice est à court/moyen terme pour une minorité d'humain; le risque est à court/moyen/long terme pour une majorité d'humain plus les générations à venir. Nous n'avons pas le droit "d'emprunter du capital risque", surtout à ce point , à nos enfants et après pendant de nombreuses générations. Un jour viendra ou les protagonistes du nucléaire seront sans doute jugés pour crime contre l'humanité!!... se sera malheureusement sans aucun doute après une grande catastrophe.
Ne la laissons pas arriver, je vous en conjure. Nous pouvons réduire nos consommations énergétiques et choisir d'autre voies ( exemple scénario Négawatt).
Arrêtons dignement la culture du risque nucléaire si vous plait.

Cette anomalie met clairement en évidence l'extrême complexité des procédures de fabrication des pièces qui sont nécessaire au fonctionnement d'un EPR. Cet incident doit servir de déclic pour une remise en cause profonde du modèle énergétique français, basé sur une énergie fossile en voie d'épuisement et d'une grande dangerosité de mise en œuvre. Les approches responsables: tant du point de vue économique que sanitaire, devraient nous conduire à sortir le plus rapidement possible de ce processus industriel non pérenne. L'intelligence et la conscience humaines sont capables de se remettre en cause pour définitivement tourner la page du nucléaire, sur l'ensemble de la planète.

Non ce n'est pas possible.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Les pièces douteuses ou comportant des anomalies doivent être entièrement refaites et contrôlées. Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Je n'accepte pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.