Revue des composants fabriqués par l’usine Creusot Forge Areva NP installés sur les réacteurs électronucléaires en exploitation

Si je comprends bien, on demande à EDF de vérifier les dossiers de fabrication des composants fabriqués par Creusot Loire, dont on a une très forte probabilité de croire que ces dossiers ont été trafiqués par Areva pour cacher des irrégularités de conformité. En outre EDF ayant été sommée de racheter en partie Areva on attend une analyse sans concession de la part d'EDF !
A minima une étude par des experts indépendants aurait pu convenir mais là il ne faut pas s'attendre à trouver des défauts rédhibitoires qui obligeraient EDF à arrêter les réacteurs concernés. Etre juge et partie n'a jamais apporté une garantie de sérieux et de fiabilité dans les résultats.

La consultation accorde un délai beaucoup trop long pour la vérification des dossiers. L'examen des équipements en service aurait dû et doit encore passer avant l'étude des équipements en projet, et notamment de l'EPR. De plus, le dossier ne contient aucune analyse de risque et ne prévoit aucune mesure conservatoire pour toute la période où l'on ignore la nature et la gravité des éventuelles anomalies. Il faut également ajouter des prescriptions pour garantir la fiabilité des vérifications. On est très loin du niveau d'exigence requis pour des installations aussi dangereuses.

Le problème de fragilité des aciers sous irradiation est connu depuis longtemps par les spécialistes de l'industrie nucléaire.
Dans un soucis économique , des défauts structurels des aciers on été cachés .
Cette action volontaire est une véritable falsification des défauts cachés qui fait prendre un risque considérable dans le parc electro nucléaire Français.
La CRIIRAD dit vrai , il est temps de prendre les mesures qui s'imposent : l’arrêt du chantier EPR et un véritable audit des réacteurs concernés par ces défauts ( cuve , couvercle ou fond de cuve , générateur de vapeur ).
il est temps que l'ASN joue son rôle de gendarme et ne cède pas aux pressions d'EDF et d'AREVA.
Merci bien
Fabrice Irle

L'ASN accorde un délai beaucoup trop long pour la vérification des dossiers de fabrication des équipements en service. L'examen des équipements en service aurait dû et doit encore passer avant l'étude des équipements en projet, et notamment de l'EPR. De plus, l'ASN ne prescrit aucune analyse de risque et ne prévoit aucune mesure conservatoire pour toute la période où l'on ignore la nature et la gravité des éventuelles anomalies. Il faut également ajouter des prescriptions pour garantir la fiabilité des vérifications. On est très loin du niveau d'exigence requis pour des installations aussi dangereuses.
Comme la CRIIRAD, que je soutiens, je demande 1/ une réduction des délais de vérification des dossiers de fabrication des équipements en service, 2/ l'évaluation des risques associés et 3/ l'instauration de mesures de sauvegarde pour toute la période d'incertitude et pour tous les équipements concernés.

Je partage pleinement l'avis de la CRIIRAD Les commentaires précédents sont suffisamment éloquents et précis, je ne les répéterai pas.
Il est grand temps d'arrêter les installations équipées de cuves non conformes. Elles ont déjà fonctionné trop longtemps !
Ne mettons pas la vie des générations futures en danger plus longtemps.
L'industrie nucléaire est en faillite à tous les points de vue : technique, financier, écologique, et moral.

L'ASN accorde un délai beaucoup trop long pour la vérification des dossiers de fabrication des équipements en service. L'examen des équipements en service aurait dû et doit encore passer avant l'étude des équipements en projet, et notamment de l'EPR. De plus, l'ASN ne prescrit aucune analyse de risque et ne prévoit aucune mesure conservatoire pour toute la période où l'on ignore la nature et la gravité des éventuelles anomalies. Il faut également ajouter des prescriptions pour garantir la fiabilité des vérifications. On est très loin du niveau d'exigence requis pour des installations aussi dangereuses.
Comme la CRIIRAD, que je soutiens, je demande 1/ une réduction des délais de vérification des dossiers de fabrication des équipements en service, 2/ l'évaluation des risques associés et 3/ l'instauration de mesures de sauvegarde pour toute la période d'incertitude et pour tous les équipements concernés.

L'ASN accorde un délai beaucoup trop long pour la vérification des dossiers de fabrication des équipements en service. L'examen des équipements en service aurait dû et doit encore passer avant l'étude des équipements en projet, et notamment de l'EPR. De plus, l'ASN ne prescrit aucune analyse de risque et ne prévoit aucune mesure conservatoire pour toute la période où l'on ignore la nature et la gravité des éventuelles anomalies. Il faut également ajouter des prescriptions pour garantir la fiabilité des vérifications. On est très loin du niveau d'exigence requis pour des installations aussi dangereuses.
Comme la CRIIRAD, que je soutiens, je demande 1/ une réduction des délais de vérification des dossiers de fabrication des équipements en service, 2/ l'évaluation des risques associés et 3/ l'instauration de mesures de sauvegarde pour toute la période d'incertitude et pour tous les équipements concernés.

Je suis du même avis que la CRIIRAD sur ce sujet de Creusot Forge .
La consultation accorde un délai beaucoup trop long pour la vérification des dossiers. L'examen des équipements en service aurait dû et doit encore passer avant l'étude des équipements en projet, et notamment de l'EPR. De plus, le dossier ne contient aucune analyse de risque et ne prévoit aucune mesure conservatoire pour toute la période où l'on ignore la nature et la gravité des éventuelles anomalies. Il faut également ajouter des prescriptions pour garantir la fiabilité des vérifications. On est très loin du niveau d'exigence requis pour des installations aussi dangereuses.
Pour conclure, les composants des centrales nucléaires doivent bénéficier d'un processus de fabrication parfait, un point c'est tout .
La sécurité de ces installations ne doit être prise à la légère .

La consultation accorde un délai beaucoup trop long pour la vérification des dossiers. L'examen des équipements en service aurait dû et doit encore passer avant l'étude des équipements en projet, et notamment de l'EPR. De plus, le dossier ne contient aucune analyse de risque et ne prévoit aucune mesure conservatoire pour toute la période où l'on ignore la nature et la gravité des éventuelles anomalies. Il faut également ajouter des prescriptions pour garantir la fiabilité des vérifications. On est très loin du niveau d'exigence requis pour des installations aussi dangereuses.

La consultation accorde un délai beaucoup trop long pour la vérification des dossiers. L'examen des équipements en service aurait dû et doit encore passer avant l'étude des équipements en projet, et notamment de l'EPR. De plus, le dossier ne contient aucune analyse de risque et ne prévoit aucune mesure conservatoire pour toute la période où l'on ignore la nature et la gravité des éventuelles anomalies. Il faut également ajouter des prescriptions pour garantir la fiabilité des vérifications. On est très loin du niveau d'exigence requis pour des installations aussi dangereuses.