Revue des composants fabriqués par l’usine Creusot Forge Areva NP installés sur les réacteurs électronucléaires en exploitation

Je soutiens aussi l'avis éclairé de la CRIIRAD à ce sujet :
La consultation accorde un délai beaucoup trop long pour la vérification des dossiers. L'examen des équipements en service aurait dû et doit encore passer avant l'étude des équipements en projet, et notamment de l'EPR. De plus, le dossier ne contient aucune analyse de risque et ne prévoit aucune mesure conservatoire pour toute la période où l'on ignore la nature et la gravité des éventuelles anomalies. Il faut également ajouter des prescriptions pour garantir la fiabilité des vérifications. On est très loin du niveau d'exigence requis pour des installations aussi dangereuses.

Je soutiens aussi l'avis éclairé de la CRIIRAD à ce sujet :
La consultation accorde un délai beaucoup trop long pour la vérification des dossiers. L'examen des équipements en service aurait dû et doit encore passer avant l'étude des équipements en projet, et notamment de l'EPR. De plus, le dossier ne contient aucune analyse de risque et ne prévoit aucune mesure conservatoire pour toute la période où l'on ignore la nature et la gravité des éventuelles anomalies. Il faut également ajouter des prescriptions pour garantir la fiabilité des vérifications. On est très loin du niveau d'exigence requis pour des installations aussi dangereuses.

Je soutiens l'avis éclairé de la CRIIRAD à ce sujet :
La consultation accorde un délai beaucoup trop long pour la vérification des dossiers. L'examen des équipements en service aurait dû et doit encore passer avant l'étude des équipements en projet, et notamment de l'EPR. De plus, le dossier ne contient aucune analyse de risque et ne prévoit aucune mesure conservatoire pour toute la période où l'on ignore la nature et la gravité des éventuelles anomalies. Il faut également ajouter des prescriptions pour garantir la fiabilité des vérifications. On est très loin du niveau d'exigence requis pour des installations aussi dangereuses.

L'ASN a constaté des irrégularités dans certains dossiers de fabrication des équipements sous pression nucléaires élaborés par Creusot Forge. Il est inconcevable que les délais de vérification soient aussi lointaines, il faut évaluer les risques associés et prendre des mesure de sauvegarde pour la période d'incertitude, tous les équipements concernés. Aucune raison n'est valable pour une telle irresponsabilité de mise en danger, pas seulement la France, à moins que les nuages s'arrêteraient cette fois-ci du côté gauche du Rhin.....Une des missions de l'ASN est l'information des citoyens, où est- elle???

Je soutiens, comme nombre de mes concitoyens, l'avis de la CRIIRAD :

La consultation accorde un délai beaucoup trop long pour la vérification des dossiers. L'examen des équipements en service aurait dû et doit encore passer avant l'étude des équipements en projet, et notamment de l'EPR. De plus, le dossier ne contient aucune analyse de risque et ne prévoit aucune mesure conservatoire pour toute la période où l'on ignore la nature et la gravité des éventuelles anomalies. Il faut également ajouter des prescriptions pour garantir la fiabilité des vérifications. On est très loin du niveau d'exigence requis pour des installations aussi dangereuses.

Ces problèmes laissent planer de sérieux doutes sur l’efficacité de la chaîne de contrôle et sur le sérieux et les compétences des industriels AREVA et EDF, et de l’État français.
Ce dossier devrait être sur le haut de la pile à l’Élysée !

Pourquoi attendre si longtemps pour tout vérifier ?? la 1ère étape , c'est de vérifier les dossiers, leur fiabilité et apporter une solution aux anomalies ; ce n'est qu'ensuite que l'on pourra éventuellement envisager les autres projets
Dans toute entreprise un tant soit peu sérieuse et saine, on apure les problèmes avant de passer à la suite ! ça tombe sous le sens...
Donc la revue des dossiers de Creusot Forge doit être faite en grande priorité, sans aucun délai

Je soutiens l'avis de la CRIIRAD :

La consultation accorde un délai beaucoup trop long pour la vérification des dossiers. L'examen des équipements en service aurait dû et doit encore passer avant l'étude des équipements en projet, et notamment de l'EPR. De plus, le dossier ne contient aucune analyse de risque et ne prévoit aucune mesure conservatoire pour toute la période où l'on ignore la nature et la gravité des éventuelles anomalies. Il faut également ajouter des prescriptions pour garantir la fiabilité des vérifications. On est très loin du niveau d'exigence requis pour des installations aussi dangereuses.

JE m'OPPOSE avec la CRIIRAD

à l'autorisation de mise en service de la cuve de Flamanville 3 alors que ses composants ne respectent pas les exigences fondamentales de sûreté. Rappelons que les possibilités de dérogation à ces exigences ont été définies très opportunément, et de manière très laxiste, par l'arrêté du 30 décembre 2015

demande 1/ une réduction des délais de vérification des dossiers de fabrication des équipements en service, 2/ l'évaluation des risques associés et 3/ l'instauration de mesures de sauvegarde pour toute la période d'incertitude et pour tous les équipements concernés.
Étant donné les failles gravissimes découvertes dans le système de contrôle, de l'assurance qualité interne aux inspection de l'ASN en passant par la surveillance d'AREVA et EDF, il faut d'urgence identifier les causes des dysfonctionnements, de mettre en place des actions correctrices et s'assurer de leur efficacité.
Au vu des constats des 3 dernières années, les autorités devraient se demander s'il est possible, et à quelles conditions, de laisser en service les 58 réacteurs du parc électronucléaire français, et non s'employer à délivrer des dérogations pour passer outres les principes et exigences fondamentales de sûreté.

Je rejoins totalement l'avis que la CRIIRAD :

La consultation accorde un délai beaucoup trop long pour la vérification des dossiers. L'examen des équipements en service aurait dû et doit encore passer avant l'étude des équipements en projet, et notamment de l'EPR. De plus, le dossier ne contient aucune analyse de risque et ne prévoit aucune mesure conservatoire pour toute la période où l'on ignore la nature et la gravité des éventuelles anomalies. Il faut également ajouter des prescriptions pour garantir la fiabilité des vérifications. On est très loin du niveau d'exigence requis pour des installations aussi dangereuses.

Après consultation des documents, je reprends les critiques formulées par la CRIIRAD :
La consultation accorde un délai beaucoup trop long pour la vérification des dossiers. L'examen des équipements en service aurait dû et doit encore passer avant l'étude des équipements en projet, et notamment de l'EPR. De plus, le dossier ne contient aucune analyse de risque et ne prévoit aucune mesure conservatoire pour toute la période où l'on ignore la nature et la gravité des éventuelles anomalies. Il faut également ajouter des prescriptions pour garantir la fiabilité des vérifications. On est très loin du niveau d'exigence requis pour des installations aussi dangereuses.

Dans un pays démocratique, le peuple doit être bien davantage informé des graves dangers que lui fait courir une industrie délétère. Cette consultation est elle-même insuffisante. Avec la CRIIRAD, nous demandons la TRANSPARENCE et l'INFORMATION pour ce qui concerne notre vie et notre santé, nous demandons l'INDEPENDANCE TOTALE des organismes de contrôle, nous demandons des contrôles efficaces et antérieurs à toute mise en service d'installations dangereuses ; puisque des installations dangereuses sont déjà en service (les réserves émises par l'ASN elle-même sur la cuve du futur EPR ont révélé du même coup des défauts d'installations déjà en service), il faut les arrêter et les contrôler d'urgence. Il faut sanctionner l'irresponsabilité, la désinformation, le mensonge, poursuivre les fraudeurs.
Tchernobyl, Fukushima, plus jamais ça ! La France n'est visiblement pas à l'abri, puisque les contrôles sont aussi mal faits et que les organismes de contrôle ne sont pas du tout indépendants !
L'argent et l'égoïsme, assez ! Assez de cette fuite en avant ! Seule la vie et la santé sont précieuses... et nos enfants !

La consultation accorde un délai beaucoup trop long pour la vérification des dossiers. L'examen des équipements en service aurait dû et doit encore passer avant l'étude des équipements en projet, et notamment de l'EPR. De plus, le dossier ne contient aucune analyse de risque et ne prévoit aucune mesure conservatoire pour toute la période où l'on ignore la nature et la gravité des éventuelles anomalies. Il faut également ajouter des prescriptions pour garantir la fiabilité des vérifications. On est très loin du niveau d'exigence requis pour des installations aussi dangereuses.
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