Revue des composants fabriqués par l’usine Creusot Forge Areva NP installés sur les réacteurs électronucléaires en exploitation

Est-ce responsable de laisser des delais aussi longs pour la verification des dossiers ? L'ASN fait juste semblant de veiller sur la securite des citoyens et laisse EDF et AREVA jouer avec notre vie et notre sante et ceux des generations futures. D'ici fin 2018, une anomalie peut se reveler dramatique et occasionner une catastrophe nucleaire. Ce n'est pas acceptable.
Nous faire prendre tous ces risques terribles alors que nous devrions sortir du nucleaire le plus rapidement possible, ce n'est pas acceptable.
Cette energie est mortifere, depassee, economiquement non viable. S'enteter a poursuivre avec ces installations nucleaires non seulement obsoletes (meme chose pour l'EPR : obsolete avant d'avoir vu le jour...) mais dont certaines pieces ont des defauts de fabrication est criminel.
Nous attendons de l'ASN qu'elle assure une veritable surete .

La consultation accorde un délai beaucoup trop long pour la vérification des dossiers. L'examen des équipements en service aurait dû et doit encore passer avant l'étude des équipements en projet, et notamment de l'EPR. De plus, le dossier ne contient aucune analyse de risque et ne prévoit aucune mesure conservatoire pour toute la période où l'on ignore la nature et la gravité des éventuelles anomalies. Il faut également ajouter des prescriptions pour garantir la fiabilité des vérifications. On est très loin du niveau d'exigence requis pour des installations aussi dangereuses.

Je travaille dans l'agro-alimentaire. Pour des risques infiniment moindres que ceux induits par la production d'énergie nucléaire nous prenons des luxes de précaution. Et là, alors que le projet engage la sécurité absolue des populations, des générations à venir et l'intégrité de l'environnement, EDF, AREVA et le gouvernement pataugent dans l'à peu près. Bravo ! La cuve est, si j'ai bien compris, la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité ne peut pas être mise en doute et c'est pourtant le cas. Aucune considération d'ordre industriel, économique ou de prestige ne peut justifier de continuer ce programme qui doit cesser.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Bien que AREVA et EDF soient parfaitement conscients que l'usine Creusot Forge d'AREVA n'était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sécurité, c'est pourtant là que les pièces de l'EPR ont été fabriqués.

Il va de soi que l'utilisation de pièces défectives dans un projet de cette nature présente des risques énormes. L'ASN, dont la raison d'être est d'agir dans l'intérêt de la sécurité publique, a néanmoins autorisé la mise en activité du réacteur.

Il est irresponsable, cynique et immoral que les intérêts du secteur nucléaire passent avant la protection des populations et de la planète. Les effets néfastes des accidents à Tchernobyl et à Fukushima devrait nous servir d'avertissement et nous convaincre de mieux protéger l'avenir et le bien-être des générations futures.

Il faut arrêter la construction des réacteurs.

Les énergies renouvelables se développent rapidement, sans les effets nuisibles, sans l'amoncèlement de déchets empoisonnés, et à coût moindre que l'énergie nucléaire. Il est indispensable et urgent de changer de direction dans la production responsable de l'énergie; et il faut que l'ASN y joue son rôle.

Comment faire confiance à des informations émanant d'organismes directement impliqués dans la problématique des composants défectueux?
il n'est pas responsable d'autoriser la mise en service d'équipements critiques qui ne satisfont pas aux minima requis par la réglementation .
On connait le risque de cette énergie nucléaire déjà quand tout est dans les normes alors évitons de rajouter des risques supplémentaires.
Aucune personne, aussi qualifiée et expérimentée soit-elle, ne peut mesurer le risque encouru. Alors essayons d'être le moins nocif possible pour cette terre et la vie qui l'habite. Le prix à payer sera trop lourd.

La consultation accorde un délai beaucoup trop long pour la vérification des dossiers. L'examen des équipements en service aurait dû et doit encore passer avant l'étude des équipements en projet, et notamment de l'EPR. De plus, le dossier ne contient aucune analyse de risque et ne prévoit aucune mesure conservatoire pour toute la période où l'on ignore la nature et la gravité des éventuelles anomalies. Il faut également ajouter des prescriptions pour garantir la fiabilité des vérifications. On est très loin du niveau d'exigence requis pour des installations aussi dangereuses.

La consultation accorde un délai beaucoup trop long pour la vérification des dossiers. L'examen des équipements en service aurait dû et doit encore passer avant l'étude des équipements en projet, et notamment de l'EPR. De plus, le dossier ne contient aucune analyse de risque et ne prévoit aucune mesure conservatoire pour toute la période où l'on ignore la nature et la gravité des éventuelles anomalies. Il faut également ajouter des prescriptions pour garantir la fiabilité des vérifications. On est très loin du niveau d'exigence requis pour des installations aussi dangereuses.

• La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être irréprochable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !
• Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
• La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
• Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Il n'est pas acceptable en démocratie qu'un réacteur soit mis en service tout en comportant des pièces essentielles défectueuses comme notamment la cuve et le couvercle de cuve du réacteur EPR de Flamanville.
L'Etat qui doit être le garant de la sécurité de ses citoyens ne peut sans commettre un crime, prendre le risque de laisser démarrer une installation au coût exorbitant, qui fait courir un risque vital à la population française voire à celle d'autres pays d'Europe.
EDF dont l'Etat est le principal actionnaire ne doit pas se comporter comme un simple actionnaire soucieux de ses intérêts financiers à court terme mais en personne morale responsable.
Si un accident nucléaire survenait à cause de l'EPR, c'en serait fini de la filière nucléaire française qui est déjà en grande difficulté avec le projet d'EPR en Finlande (7 ans de retard et des milliards de dépassement de délai à payer...le tribunal international donnant plutôt gain de cause à la Finlande).
En conclusion, je mets en demeure l'ASN de ne pas autoriser le démarrage de l'EPR. En cas d'accident nucléaire sa responsabilité serait directement engagée.

La consultation accorde un délai beaucoup trop long pour la vérification des dossiers. L'examen des équipements en service aurait dû et doit encore passer avant l'étude des équipements en projet, et notamment de l'EPR. De plus, le dossier ne contient aucune analyse de risque et ne prévoit aucune mesure conservatoire pour toute la période où l'on ignore la nature et la gravité des éventuelles anomalies. On est très loin du niveau d'exigence requis pour des installations aussi dangereuses.
En conclusion, je demande :
1/ une réduction des délais de vérification des dossiers de fabrication des équipements en service,
2/ l'évaluation des risques associés aux anomalies constatées
3/ l'instauration de mesures de sauvegarde pour toute la période d'incertitude et pour tous les équipements concernés.