Mise à participation du public pour le projet de mise en service du réacteur EPR de Flamanville (INB 167)

La France a su lors des dernières décennies garder l'héritage et le savoir faire de l'industrie nucléaire. Comme l'a montré l'exemple suédois, ce savoir faire commence à perdre ses fruits.

La France doit retrouver le leadership de ce secteur énergétique clé. Notre avenir est éminemment tourné vers la fusion mais en attendant, il faut garder les meilleurs techniques de fission opérationnelles et pour cela l'EPR de Flamanville doit continuer sa mission.

Les français attendent beaucoup de ce projet et encore plus au vu des crises actuelles et de celle de l'énergie. Ne nous décevez pas.

Ce réacteur doit démarrer, et doit permettre de relancer la filière nucléaire sur le sol Français



Aujourd'hui, nous payons cash les erreurs et les décisions irréalistes des gouvernement précédents.. La fermeture de Fessenheim en est le point d'orgue ..



Hors aujourd'hui, après plusieurs milliards investi .. il serait illogique de ne pas faire démarrer ce réacteur.. Enplus du manque à gagner, de l'argent investi, et du recul dans la quete de la diminution des rejets de CO2 .. Cela serait un manque de respect énorme pour toutes les personnes et les entreprises ayant participé au projet .. Cela montrerais au monde entier la bêtise Française à cause d'écologiste lobbyiste du GreenWashing, de vieux retraités sans aucune connaissance qui ont peur de tout, et d'associations comme GreenPeace qui ne se gène pas pour promouvoir l'utilisation du Gaz et du charbon ..





Bref, plus d'1 million de personne seraient bénéficiaires de ce réacteur, des centaines voir milliers d'emplois, et surtout le plus important, la sauvegarde de l'environnement..

Cette consultation relative à la demande de mise en service du réacteur de Flamanville est pour le moins surréaliste alors que les incertitudes sur la capacité de ce prototype industrielle à fonctionner restent immenses.



Trois arguments principaux pour produire un avis négatif en réponse à cette consultation :



1) faible compétence d’EDF à entendre réserves et remarques qui lui sont adressées.



2) récapituler les écarts, incidents et accidents qu’a connus l’EPR en lien avec la sûreté nucléaire pendant sa phase de construction et d’expliciter les mesures prises pour y répondre, en particulier pour ce qui concerne la cuve du réacteur.



3) la nature même des informations présentées au public. Dans chaque volume des données font défauts.



Au fiasco industriel fait suite un fiasco démocratique après la validation pour le moins surprenante de la cuve de ce réacteur.



Comment dans ses conditions envisager une relance de la filière nucléaire ?

Je ne suis pas de la filière énergétique ou nucléaire, mais m'y intéresse en tant que citoyen.



J'apprécie la transparence sur le dossier, qui permet à toute personne qualifiée de mettre en exergue des zones d'ombres ou d'erreurs.



Jusqu'à présent, je n'ai pas eu vent de telle problématique, et n'ai pas trouvé de critique valable permettant de justifier un rejet de ce projet. Tout projet peut avoir des erreurs, d'autant plus lorsqu'ils sont complexes.



Mais cela ne doit pas être une raison de l'abandonner, car l'impact de ne pas développer le nucléaire est quant à lui bien connu et quantifiable : la compensation nécessaire avec des sources plus polluantes, engendrant la perte d'années en bonne santé pour les humains, outrepassera grandement les impacts prévus et imprévus de ce projet.



Même avec des scénarios de forte baisse de la consommation énergétique, l'électrification nécessaire de nos usages rend ce projet indispensable, parmi de nombreuses externalités positives, et très peu de négatives.

Totalement opposé au démarrage d'un réacteur nucléaire souffrant de graves défauts avant même sa mise en service comme par exemple un couvercle de cuve , pièce capitale qui devra être changée très peu de temps après le démarrage pour cause de fabrication défectueuse . Aucune confiance dans le lobby nucléaire qui sous-estime les coûts de construction et les délais de fabrication de façon "risible", qui prétend défendre l' indépendance énergétique de la France en oubliant que 100% du combustible nucléaire est importé et qui ignore la question capitale de la gestion des déchets nucléaires.

Cette consultation relative à la demande de mise en service du réacteur de Flamanville est pour le moins surréaliste alors que les incertitudes sur la capacité de ce prototype industrielle à fonctionner restent immenses.



trois arguments principaux pour produire un avis négatif en réponse à cette consultation :



1 faible capacité d’EDF à entendre réserves et remarques qui lui sont adressées.



2 récapituler les écarts, incidents et accidents qu’a connus l’EPR en lien avec la sûreté nucléaire pendant sa phase de construction et d’expliciter les mesures prises pour y répondre, en particulier pour ce qui concerne la cuve du réacteur.



3 la nature même des informations présentées au public. Dans chaque volume des données font défauts.



Au fiasco industriel fait suite un fiasco démocratique après la validation pour le moins surprenante de la cuve de ce réacteur.



Comment dans ses conditions envisager une relance de la filière nucléaire ?

Cette consultation relative à la demande de mise en service du réacteur de Flamanville est pour le moins surréaliste alors que les incertitudes sur la capacité de ce prototype industrielle à fonctionner restent immenses.



trois arguments principaux pour produire un avis négatif en réponse à cette consultation :



1 faible capacité d’EDF à entendre réserves et remarques qui lui sont adressées.



2 récapituler les écarts, incidents et accidents qu’a connus l’EPR en lien avec la sûreté nucléaire pendant sa phase de construction et d’expliciter les mesures prises pour y répondre, en particulier pour ce qui concerne la cuve du réacteur.



3 la nature même des informations présentées au public. Dans chaque volume des données font défauts.



Au fiasco industriel fait suite un fiasco démocratique après la validation pour le moins surprenante de la cuve de ce réacteur.



Comment dans ses conditions envisager une relance de la filière nucléaire ?

Cette consultation relative à la demande de mise en service du réacteur de Flamanville est pour le moins surréaliste alors que les incertitudes sur la capacité de ce prototype industrielle à fonctionner restent immenses.



trois arguments principaux pour produire un avis négatif en réponse à cette consultation :



1 faible capacité d’EDF à entendre réserves et remarques qui lui sont adressées.



2 récapituler les écarts, incidents et accidents qu’a connus l’EPR en lien avec la sûreté nucléaire pendant sa phase de construction et d’expliciter les mesures prises pour y répondre, en particulier pour ce qui concerne la cuve du réacteur.



3 la nature même des informations présentées au public. Dans chaque volume des données font défauts.



Au fiasco industriel fait suite un fiasco démocratique après la validation pour le moins surprenante de la cuve de ce réacteur.



Comment dans ses conditions envisager une relance de la filière nucléaire ?

C’est non pour des raisons écologiques, financières, sécurité des populations, hypothèque sur l’avenir.

1) Ecologique :

- parce qu’un réacteur nucléaire en service de plus, ce sont des rejets chimiques et radiologiques dans l’environnement en plus. Il faut arrêter tout rejet de substances dans l’air, dans l’eau et dans les sols.

- parce que l’EPR va pomper l’eau de la mer. Il massacre la faune et la flore marine qui se fait happer dans les prises d’eau.

- parce que les êtres aquatiques qui sont contaminés par la radioactivité rejetée en mer par l’EPR peuvent ensuite être consommés par l’homme et on ne connaît pas assez les conséquences de cette contamination de la chaîne anthropique.

- et parce qu’il n’y a pas l’avis de l’Autorité environnementale dans le dossier. Or, cet avis est obligatoire.



2) Financières :

- Le réacteur a déjà coûté trop cher (près de 19 milliards selon la Cour des comptes) pour que l’électricité produite puisse être un jour rentable, autant arrêter les frais maintenant plutôt que de dépenser encore plus sur ce projet !

- Le réacteur EPR n’est pas dimensionné pour faire face aux aléas climatiques (inondations, sécheresse, températures extrêmes, orages, tornades, neige etc.) à venir et ça coûtera beaucoup trop cher de le modifier sans que ce soit possible rapidement ni efficace durablement.

- Le couvercle de la cuve devra être remplacé après seulement un cycle de fonctionnement (12 à 18 mois), ce qui va coûter très cher en argent, en dose de rayonnement pour les travailleurs et va créer un déchet radioactif supplémentaire à gérer.



3) Sécurité des populations :

- La filière nucléaire a perdu en compétences, le niveau de qualité de la construction et des études est insuffisant. Comment faire tourner une machine nucléaire qu’on n’a pas su construire ?

- Il n’y a toujours pas de solution pour les déchets nucléaires alors aucun nouveau réacteur ne doit être mis en service (les enfouir sous le tapis de la Terre n’est pas ce qu’on appelle une solution mais un cache-misère) !

- Le contrôle des réacteurs nucléaires repose sur un système déclaratif. Qui peut encore faire confiance à EDF et à ses fournisseurs pour tout dire et tout déclarer après tous les scandales de fraudes et de malfaçons qu’il y a eu ces dernières années ?

- Le réacteur n’est pas fait pour résister à une chute d’avion de ligne ni à une attaque armée, c’est trop risqué.

- EDF a tout prévu à Flamanville sauf les innombrables déboires de ce chantier et des autres EPR dans le monde... Comment croire aujourd’hui que cet exploitant est prêt à affronter les problèmes de demain ?

- Les soudures tiendront-elles au vu des nombreux problèmes déjà rencontrés ?

- Certaines soudures ne seront pas accessibles alors qu’elles devront être vérifiées durant l’exploitation.

- La conservation des équipements sur l’EPR pose problème, plusieurs inspections de l’ASN l’ont montré.

- Est-ce opportun de démarrer une machine dont certaines pièces rouillent depuis 10 ans ?



4) Hypothèque sur l’avenir:

Des déchets pour les générations futures sur des milliers d'années.



Pour toutes ces raisons et bien d’autres, c’est NON !