Consultation du public sur les conditions de la poursuite de fonctionnement des réacteurs de 900 MWe au-delà de 40 ans

Pour s’exprimer sur les futurs VD4, il faut rappeler que la France est la seule qui a pris en compte les accidents graves de TMI, Tchernobyl et Fukushima pour mettre au meilleur niveau l’ensemble des réacteurs actuels et la construction de l’EPR. Tout est analysé sous les angles techniques, humains, et organisationnels ayant conduit à se doter d’une équipe d’urgence nationale. De plus, les divers incidents les plus notables des parcs français et étrangers font l’objet d’analyses et d’améliorations au quotidien.
Comment les écologistes, très prévenants de la sécurité du public, n’ont pas demandé, depuis plus de 50 ans, un (ré?) examen de la situation accidentelle de toutes les vallées afin de réaliser les modifications indispensables pour éviter la catastrophe de la Vésubie ?
A quand une sollicitation de l’homme de la rue sur le bien fondé du vaccin reposant sur le MK/4482/EIDD-2801 d’activité à large spectre contre les virus à ARN , Faut-il accepter la séquence génétique codant la protéine S, l'ARN messager en laboratoire des protéines Spike ? Faut-il utiliser les chocs électriques pour faciliter l'injection des brins d'ADN ?
Cette consultation du public ne peut être qu'un grand "?’’, car seuls des spécialistes, comme dans chaque domaine pointu de la science, peuvent prétendre s’exprimer sur un sujet aussi complexe sur lequel des dizaines d’ingénieurs, Exploitant et Autorité de sûreté, y travaillent depuis de très nombreuses années ?

Les sites des centrales nucléaires sont surveillées par des entités internes spécifiques d'EDF et par une entité indépendante l'ASN.
Tant que ces entités, suites à leurs évaluations des sites, donnent l'autorisation d'exploiter ces réacteurs au delà de 40 ans, il n'y a pas de raison technique (sureté des installations), économique d'arrêter ces réacteurs.
C'est un excellent mode de production pour limiter les émissions de gaz à effet de serre et il contribue fortement à équilibrer le réseau interconnecté (offre = demande) et à maintenir les paramètres de celui-ci (puissance, fréquence et tension).

Le concept unique de contrôle et de l'amélioration continue des installations nucléaires françaises par l'ASN instauré de manière transparente par la loi de 2006 est le garant d'une gestion responsable de leur sûreté. Le Président Macron rappelle régulièrement par ailleurs et encore très récemment ! : "Aujourd’hui si on veut lutter contre le réchauffement climatique, nous, on produit une électricité qui est parmi les plus décarbonées au monde, grâce à quoi ? Grâce au nucléaire ! Çà veut dire continuer à innover, fermer le cycle, être encore plus dans la sûreté pour avoir un nucléaire encore plus sûr, dans notre pays".
Et pour se convaincre de cet avantage, il suffit d'inter comparer les émissions de CO2 de l'Allemagne et de la France sur www.electricity map et d'en conclure qu'il nous faut de la marge sur les énergies pilotables pour parer au risque de défaillance du réseau électrique. Il faut donc prolonger nos réacteurs en toute sûreté grâce à la vigilance de l'ASN et construire sans tarder de nouveaux réacteurs EPR2.

Le concept unique de contrôle et de l'amélioration continue des installations nucléaires françaises par l'ASN instauré de manière transparente par la loi de 2006 est le garant d'une gestion responsable de leur sûreté. Le Président Macron rappelle régulièrement par ailleurs et encore très récemment ! : "Aujourd’hui si on veut lutter contre le réchauffement climatique, nous, on produit une électricité qui est parmi les plus décarbonées au monde, grâce à quoi ? Grâce au nucléaire ! Çà veut dire continuer à innover, fermer le cycle, être encore plus dans la sûreté pour avoir un nucléaire encore plus sûr, dans notre pays".
Et pour se convaincre de cet avantage, il suffit d'inter comparer les émissions de CO2 de l'Allemagne et de la France sur www.electricity map et d'en conclure qu'il nous faut de la marge sur les énergies pilotables pour parer au risque de défaillance du réseau électrique. Il faut donc prolonger nos réacteurs en toute sûreté grâce à la vigilance de l'ASN et construire sans tarder de nouveaux réacteurs EPR2.

Les éoliennes off shore peuvent désormais fournir un kWh électrique à 49 euros/MWh en Europe, comme bientôt à Dunkerque.
L'AIE a en outre montré que l'éolien en mer pourrait fournir 11 fois l'électricité consommée dans le monde.
Le nucléaire produit à 65 euros/MWh avec des réacteurs anciens et 125 euros/MWh avec l'EPR.
L'éolien en mer est de plus de la base variable (entre 4000 et 5200 h par an).
Je pense qu'il faut opérer une transition du nucléaire vers l'éolien en mer sur 20 ans, donc en arrêtant les réacteurs de 900 MW pour accélérer la construction de parcs eoliens en mer au rythme du Royaume Uni qui prévoit 40 GW d'eolien off shore d'ici 2030 (ce qui représentera près de 70 % de son électricité).
Je suis donc contre la prolongation de 10 ans des réacteurs de 900 MW.

D'abord bonjour,

Je suis pour la prolongation de l'exploitation des centrales fêtant leur 40eme anniversaire.
De mon humble avis, je pense que le nucléaire est primordial en France.
J'ai envie de dire, tant qu'on a toutes ces centrales mais aussi ces infrastructures de retraitement (je pense à La Hague d'Orano ou au CEA et tous ces organismes qui permettent à la France d'avoir cette expertise sur l'industrie Nucléaire), autant en tirer profit.

J'écris cet avis en tant qu'apprenti et futur travailleur du nucléaire.

Je suis totalement favorable à la poursuite du développement électronucléaire en France et en particulier pour porter à 60ans voire au delà la durée de vie des centrales nucléaires actuelles. La lutte contre le CO2 doit être notre priorité; L'électricité nucléaire est la solution la plus performante pour y parvenir. Les exploitants et le filière française ont démontré depuis toujours leurs compétences et leur souci en matière de sûreté; je leur fais confiance.

La prolongation de l'exploitation au-delà de 40 ans est possible du point de vue de la sûreté et elle est indispensable pour limiter le réchauffement climatique
La stabilité du réseau électrique français interconnecté au réseau européen nécessite des moyens de production d’électricité incluant des centrales électriques de grande capacité de production que ne peuvent pas remplacer des parcs d’éoliennes ou de panneaux solaires. C’est une contrainte technique incontournable.
La capacité d’installation de nouvelles centrales hydrauliques est limitée à moins de noyer des vallées entières. En conséquence, si on veut de l’électricité décarbonée il faut du nucléaire, en prolongeant la vie des centrales et en construisant de nouvelles unités. Le retour d’expérience passé, notamment de Fukushima, a conduit à modifier les installations en France à un niveau de sûreté meilleur que par le passé qui avait déjà permis de montrer la qualité d’exploitation du parc électronucléaire français et celle de la surveillance par l’ASN.
La connaissance actuelle de la technique et des moyens de surveillance, le retour d’expérience des centrales américaines, les autorisations de fonctionnement assujetties à des contrôles périodiques sont des éléments tangibles en faveur d’une prolongation de la vie des centrales.
On devrait plus s’inquiéter du démantèlement progressif d’une entreprise jadis intégrée, EDF, qui optimisait les moyens divers de production et garantissait le transport et la distribution car demain ces garanties ne seront plus assurées avec en plus une probable hausse du coût de l’électricité. La cession de 25% de la production nucléaire au prix coûtant à des investisseurs privés est une aberration.

La prolongation de l'exploitation au-delà de 40 ans est possible du point de vue de la sûreté et elle est indispensable pour limiter le réchauffement climatique
La stabilité du réseau électrique français interconnecté au réseau européen nécessite des moyens de production d’électricité incluant des centrales électriques de grande capacité de production que ne peuvent pas remplacer des parcs d’éoliennes ou de panneaux solaires. C’est une contrainte technique incontournable.
La capacité d’installation de nouvelles centrales hydrauliques est limitée à moins de noyer des vallées entières. En conséquence, si on veut de l’électricité décarbonée il faut du nucléaire, en prolongeant la vie des centrales et en construisant de nouvelles unités. Le retour d’expérience passé, notamment de Fukushima, a conduit à modifier les installations en France à un niveau de sûreté meilleur que par le passé qui avait déjà permis de montrer la qualité d’exploitation du parc électronucléaire français et celle de la surveillance par l’ASN.
La connaissance actuelle de la technique et des moyens de surveillance, le retour d’expérience des centrales américaines, les autorisations de fonctionnement assujetties à des contrôles périodiques sont des éléments tangibles en faveur d’une prolongation de la vie des centrales.
On devrait plus s’inquiéter du démantèlement progressif d’une entreprise jadis intégrée, EDF, qui optimisait les moyens divers de production et garantissait le transport et la distribution car demain ces garanties ne seront plus assurées avec en plus une probable hausse du coût de l’électricité. La cession de 25% de la production nucléaire au prix coûtant à des investisseurs privés est une aberration.

La prolongation de l'exploitation au-delà de 40 ans est possible du point de vue de la sûreté et elle est indispensable pour limiter le réchauffement climatique
La stabilité du réseau électrique français interconnecté au réseau européen nécessite des moyens de production d’électricité incluant des centrales électriques de grande capacité de production que ne peuvent pas remplacer des parcs d’éoliennes ou de panneaux solaires. C’est une contrainte technique incontournable.
La capacité d’installation de nouvelles centrales hydrauliques est limitée à moins de noyer des vallées entières. En conséquence, si on veut de l’électricité décarbonée il faut du nucléaire, en prolongeant la vie des centrales et en construisant de nouvelles unités. Le retour d’expérience passé, notamment de Fukushima, a conduit à modifier les installations en France à un niveau de sûreté meilleur que par le passé qui avait déjà permis de montrer la qualité d’exploitation du parc électronucléaire français et celle de la surveillance par l’ASN.
La connaissance actuelle de la technique et des moyens de surveillance, le retour d’expérience des centrales américaines, les autorisations de fonctionnement assujetties à des contrôles périodiques sont des éléments tangibles en faveur d’une prolongation de la vie des centrales.
On devrait plus s’inquiéter du démantèlement progressif d’une entreprise jadis intégrée, EDF, qui optimisait les moyens divers de production et garantissait le transport et la distribution car demain ces garanties ne seront plus assurées avec en plus une probable hausse du coût de l’électricité. La cession de 25% de la production nucléaire au prix coûtant à des investisseurs privés est une aberration.

La prolongation de l'exploitation au-delà de 40 ans est possible du point de vue de la sûreté et elle est indispensable pour limiter le réchauffement climatique
La stabilité du réseau électrique français interconnecté au réseau européen nécessite des moyens de production d’électricité incluant des centrales électriques de grande capacité de production que ne peuvent pas remplacer des parcs d’éoliennes ou de panneaux solaires. C’est une contrainte technique incontournable.
La capacité d’installation de nouvelles centrales hydrauliques est limitée à moins de noyer des vallées entières. En conséquence, si on veut de l’électricité décarbonée il faut du nucléaire, en prolongeant la vie des centrales et en construisant de nouvelles unités. Le retour d’expérience passé, notamment de Fukushima, a conduit à modifier les installations en France à un niveau de sûreté meilleur que par le passé qui avait déjà permis de montrer la qualité d’exploitation du parc électronucléaire français et celle de la surveillance par l’ASN.
La connaissance actuelle de la technique et des moyens de surveillance, le retour d’expérience des centrales américaines, les autorisations de fonctionnement assujetties à des contrôles périodiques sont des éléments tangibles en faveur d’une prolongation de la vie des centrales.
On devrait plus s’inquiéter du démantèlement progressif d’une entreprise jadis intégrée, EDF, qui optimisait les moyens divers de production et garantissait le transport et la distribution car demain ces garanties ne seront plus assurées avec en plus une probable hausse du coût de l’électricité. La cession de 25% de la production nucléaire au prix coûtant à des investisseurs privés est une aberration.