L’ASN a indiqué à EDF, par un courrier de son président, Pierre-Franck Chevet, en date du 20 mars 2015, qu’elle n’a pas identifié à ce stade d’éléments génériques mettant en cause la capacité d’EDF à maîtriser la sûreté de ses réacteurs de 1300 MWe jusqu’au réexamen de sûreté associé à leur quatrième visite décennale.