CODIRPA - Conséquences sanitaires d'un accident nucléaire

Conséquences sanitaires d’un accident nucléaire 72 Questions-réponses pour les professionnels de santé 3 LA VIE EN SOCIÉTÉ 1 GÉNÉRALITÉS 2 LE DOMAINE DE LA SANTÉ 6 LA PHASE D’URGENCE 4 LES ACTIVITÉS PROFESSIONNELLES 5 L’ENVIRONNEMENT SOMMAIRE GLOSSAIRE 5- L’ENVIRONNEMENT l’exposition par ingestion est en moyenne de ϋ͛ϐϐ ý ĆΆñþ͛ ñĆõó ôõ öÿĂĄõă ĆñĂùñĄùÿþă õþ öÿþóĄùÿþ ôą Ăİ÷ùýõ ñüùýõþĄñùĂõ ͜ l’utilisation médicale de sources de rayonnements ionisants pour le diagnostic (radiographie, scanner, imagerie nucléaire), la thérapie (traitements anti-cancéreux) ou le dépistage (mammographie). L’exposition moyenne due aux actes d’imagerie médicale pour une personne est en moyenne ôõ ό͛ϑ ý ĆΆñþ ôñþă üñ ĀÿĀąüñĄùÿþ öĂñþĩñùăõ͞ õă þùĆõñąĈ ôͫõĈĀÿăùĄùÿþ ăÿþĄ ĄĂįă ĆñĂùñòüõă óñĂ ùüă dépendent des besoins diagnostique et thérapeuĄùāąõ ôõ óøñāąõ ùþôùĆùôą ͜ ü õă ąĄùüùăñĄùÿþă ċ ôõă ҉þă ùþôąăĄĂùõüüõă õĄ ýùüùĄñùĂõă ͝ - l’utilisation des rayonnements ionisants à des ҉þă ùþôąăĄĂùõüüõă͞ ü ăͫñ÷ùĄ õăăõþĄùõüüõýõþĄ ôõ l’industrie nucléaire. Les expositions de la popuüñĄùÿþ āąù õþ ôİóÿąüõþĄ ĀĂÿĆùõþþõþĄ ôõă ĂõúõĄă des installations nucléaires en fonctionnement normal, de la contamination des sols résultant ôͫñóĄùĆùĄİă ýùþùįĂõă õĄ ôõă ĂõĄÿýòİõă ôõă ñóóùôõþĄă þąóüİñùĂõă ôõ óøõĂþÿòĉü õĄ ôõ ąûąăøùýñ ͜ ͠ üͫąĄùüùăñĄùÿþ ôõ ăąòăĄñþóõă ĂñôùÿñóĄùĆõă ċ ôõă ҉þă militaires. En France, il s’agit essentiellement des retombées radioactives des essais nucléaires aériens. L’exposition cumulée de la population française due aux activités industrielles et militaires est en ýÿĉõþþõ ôõ ϋ͛ϋύ ý Ć ĀñĂ ĀõĂăÿþþõ õĄ ĀñĂ ñþ͞ Au total, l’exposition de la population française aux ăÿąĂóõă þñĄąĂõüüõă õĄ ñĂĄù҉óùõüüõă ôõ ĂñĉÿþþõýõþĄă ùÿþùăñþĄă õ㥠õþ ýÿĉõþþõ ôõ Ϗ͛ϐ ý ĆΆñþ͛ ñĆõó üñ ĂİĀñĂĄùĄùÿþ ùþôùāąİõ ôñþă üñ ҉÷ąĂõ ϒ Θ ͛ ύϋύόΙ͞ Cependant, comme mentionné précédemment, cette exposition est variable en fonction de nombreux facteurs comme la fréquence des voyages en avion (rayonnement cosmique), le lieu d’habitation (rayonnement tellurique et radon), les habitudes alimentaires (consommation de coquillages et crustacés), la consommation de tabac et la fréquence des examens médicaux utilisant des rayonnements ionisants ΘĂñôùÿă õĄ ăóñþþõĂă ĀñĂ õĈõýĀüõΙ͞ ąõüāąõă õĈõýĀüõă ăÿþĄ ôÿþþİă ôñþă üñ ҉÷ąĂõ ϓ͞ Le site Internet de l’IRSN propose une application permettant d’évaluer son exposition en fonction de ĀñĂñýįĄĂõă óÿýýõ üõ üùõą ôͫøñòùĄñĄùÿþ͛ üñ óÿþăÿýmation de coquillages, les voyages en avion, etc. (calculette IRSN, disponible sur www.irsn.fr). < 1% Industrielle et militaire 33% Radon 34% Médicale 7% Cosmique 12% Alimentation 14% Tellurique Figure 7. Exposition moyenne de la population française aux sources naturelles et artificielles de rayonnements ionisants sur la période 2014-201958. L’exposition annuelle moyenne est de 4,5 mSv/an. Cette valeur prend en compte le coefficient de dose radon réglementaire (arrêté du 1er septembre 2003) et non pas le nouveau coefficient de dose radon proposé par la CIPR. ϐϓ ĈĀÿăùĄùÿþ ôõ üñ ĀÿĀąüñĄùÿþ öĂñþĩñùăõ͛ òùüñþ ύϋόϏ͠ύϋόϔ͞ ͛ ύϋύό ͝ øĄĄĀă͝ΆΆććć͞ùĂăþ͞öĂΆ Ά óĄąñüùĄõăΏĀĂõăăõΆ ÿýýąþùāąõăΏõĄΏôÿăăùõĂăΏôõΏĀĂõăăõΆ ÿóąýõþĄăΆ Ώ ñĀĀÿĂĄшύϋ ! Ώôõö͞Āôö

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